- Sensation de bien-être pouvant frôler l’euphorie
- Picotements dans tous les corps
- Émotions exacerbées
- Sensation de chaud ou de froid
- Perte temporelle de tous repères dans l’espace et le temps
- Disparitions de maux physiques récurrents ou sensations de désagréments dans tous les corps ( certaines douleurs ou mémoires peuvent se rappeler à nous !)
- Véritable mise à Zéro (00:00)-> Reset
- NB : Les symptômes s’ils se font ressentir, car cela dépend de votre sensibilité bien entendu, disparaissent au fur et à mesure que le corps retrouve son nouvel ancrage aux différents plans. Cela peut durer quelques minutes comme quelques heures… Il est alors conseillé de ne pas faire d’activités ménagères ou sportives qui pourraient nous demander une attention particulière. Le corps opère de lui même les ajustements nécessaires ! Respect de Soi, repos et hydratation sont indispensables les 48h qui suivent l’activation. Pas besoin de faire, juste Être et se faire confiance !
- Sensation de plénitude et d’expansion
- Disparitions dans le temps de schémas de fonctionnements obsolètes
- Découverte et connexion à notre Soi authentique de façon multidimensionnelle
- Pertes de nos repères ( éventuelle mais non automatique !) car nouvelle disposition dans notre axe personnel avec remises en question parfois très surprenantes pour nous et notre entourage ( pas toujours agréable )
- Propulsion sur notre véritable chemin de vie
- Connexion à notre Divinité et dimension Sacrée, connexion au Divin
- Le cœur s’ouvre, s’expanse plus que jamais pour cocréer l’avenir que nous désirons voir pour nous et pour les autres au départ du respect et de l’Amour Inconditionnel pour Soi et tout ce qui Est
(plus d’infos )
La quantité moyenne d’eau contenue dans un organisme adulte est de 65 %, ce qui correspond à environ 45 litres d’eau pour une personne de 70 kilogrammes. La teneur totale en eau du corps humain dépend de plusieurs facteurs (corpulence, âge notamment : plus d’informations dans le dossier du CNRS).
Plus précisément, près de 60 % du corps humain d’un homme adulte est constitué d’eau, ce qui correspond à peu près à 42 litres d’eau chez une personne de 70 kg.
Chez les femmes, en raison de la proportion plus importante des tissus adipeux, ce taux est de 55 %.
À la naissance, ce pourcentage atteint même 78 % chez le bébé !
Répartition de l’eau dans le corps humain
Cette eau n’est pas répartie uniformément dans le corps humain, certains organes en contiennent plus que d’autres :
- poumons : 78 % ;
- sang : 79 % ;
- cerveau : 76 % ;
- muscles lisses : 75 % ;
- os : 22,5 % ;
- tissus adipeux : 10 %.
Gaïa :
La surface de la Terre est recouverte à 71 % d’eau (97 % d’eau salée et 3 % d’eau douce dans différents réservoirs) sous différentes formes : liquide, dans les océans, les lacs, les fleuves et les rivières.
L’univers connu :
Abondante dans notre Système solaire et ailleurs, l’eau se serait vraisemblablement formée il y a plusieurs milliards d’années lorsque le cosmos a commencé à s’enrichir en oxygène. Une récente étude suggère même que les conditions étaient favorables dès le premier milliard d’années de l’univers.
L’eau est partout dans notre Système solaire et au-delà, autour d’autres étoiles, dans les nuages moléculaires d’autres galaxies, etc.
Surnommée la Planète bleue car recouverte d’eau à plus de 70 %, la Terre n’est pas pour autant l’astre qui en détient le plus. Proportionnellement à sa taille et à sa masse, elle en est même loin. Cérès, par exemple, dont l’exploration scientifique par la sonde Dawn vient de commencer, en contient de grandes quantités (au moins 25 % de sa masse selon les estimations). Idem pour Europe, située autour de Jupiter, qui ne manque pas d’étonner, car elle est plus petite que la Terre et contient pourtant plus d’eau (comme le montre cette illustration d’Europe) !
En réalité, et contrairement aux idées reçues qui feraient volontiers passer notre Planète comme étant le seul et unique point d’eau (une oasis) dans le désert galactique, cette molécule est partout et abondante. Dans notre Système solaire, par exemple, les corps qui en possèdent sont nombreux : Mars (il y en avait plus encore il y a 4 milliards d’années), Europe, Ganymède, Callisto, Encelade et bien d’autres (voir le graphique de la Nasa). Il en existe aussi énormément au-delà de Neptune, au sein des comètes, des planètes naines comme Pluton, voire dans les astéroïdes comme le suggèrent certaines observations.
Bien entendu, l’eau ne s’est pas exclusivement accumulée autour de notre Soleil, par conséquent chaque étoile de la galaxie et chaque système planétaire en détiennent… Voilà qui décuple les possibilités de trouver un jour de la vie ailleurs : « Je pense que nous allons avoir des indications fortes que de la vie existe au-delà de la Terre d’ici une décennie et que nous en aurons des preuves définitives dans 20 à 30 ans », déclarait à ce propos, il y a quelques semaines, dans un communiqué de presse de la Nasa, Ellen Stofan, directrice scientifique à l’Agence spatiale.
Des conditions favorables à l’apparition de l’eau
Mais au fait, d’où vient toute cette eau ? Pour chaque gorgée de ce précieux liquide (l’eau douce liquide représente sur Terre moins de 1 % de l’ensemble) que nous buvons tous, songez que l’hydrogène et l’oxygène qui la composent furent créés voici plusieurs milliards d’années. Pour le premier, quelques instants après le Big Bang, il y a 13,8 milliards d’années, et pour le second, un peu plus tard. Le sujet est cependant encore en cours de débat et la date reste difficile à préciser. La production de l’oxygène ayant débuté avec la première génération d’étoiles, plusieurs centaines de millions d’années — voire quelques milliards d’années — furent donc nécessaires pour que son abondance dans la galaxie soit significative et permette l’avènement de l’eau (sous forme de glace et de vapeur) dans les nuages de gaz et de poussières où se forment les étoiles (et autour d’elles, les planètes).
Une équipe de chercheurs estime qu’un milliard d’années environ après le Big Bang, les conditions pouvaient déjà être favorables à l’apparition de l’eau. Les premières étoiles étaient vraisemblablement très massives et ne vivaient pas très longtemps. Aussi, l’oxygène qu’elles ont synthétisé et dispersé (éjecté aussi lors de leur explosion) est venu enrichir plusieurs poches de gaz encore pauvre en éléments plus lourds que l’hydrogène et l’hélium.
Selon les chercheurs, puisqu’à cette période l’univers était plus dense et plus chaud, de l’eau sous sa forme gazeuse aurait pu se former à une température de 300 K, soit environ 26,6 °C. « Nous avons examiné la chimie au sein de jeunes nuages moléculaires qui contiennent 1.000 fois moins d’oxygène que notre Soleil [né il y a 4,6 milliards d’années, NDLR], explique Avi Loeb du Harvard-Smithsonian Center for Astrophysics (CfA) et coauteur de cette étude publiée dans Astrophysical Journal Letters et disponible sur arXiv. À notre grande surprise, nous avons trouvé qu’il est possible d’obtenir autant de vapeur d’eau que l’on peut en observer (actuellement) dans notre propre Galaxie. »
En outre, en dépit des rayonnements ultraviolets des jeunes étoiles qui cassent massivement les molécules, une production soutenue a pu tout à fait contrebalancer, au fil de plusieurs centaines de millions d’années, la dégradation, affichant ainsi un équilibre comparable à celui qui est observé aujourd’hui dans l’univers local. « Vous pouvez accumuler des quantités d’eau importantes à l’état gazeux, même sans un gros enrichissement en éléments lourds », souligne Shmuel Bialy (université de Tel-Aviv) qui a dirigé l’équipe. Vitale pour nous, cette molécule que l’on côtoie chaque jour a presque un goût d’éternité.
L’eau liquide est probablement abondante dans l’univers, en dépit du fait que sa présence n’ait été détectée que sur un seul corps de façon stable à l’heure actuelle (juillet 2015), la Terre.
L’existence d’eau liquide sur d’autres corps est un sujet particulièrement étudié car, entre autres, elle est généralement considérée comme l’un des préalables essentiels à la vie[1]. La recherche d’eau liquide ailleurs que sur Terre est donc une partie importante du travail effectué dans le cadre de la recherche de vie extraterrestre.
Avec une surface recouverte à environ 71 % par des océans, la Terre est le seul astre connu pour abriter des zones stables d’eau liquide. Par ailleurs, l’eau liquide est essentielle à tous les organismes vivants connus qui y vivent. La présence d’eau liquide sur Terre est le résultat d’une pression atmosphérique suffisante à sa surface et de sa présence dans la zone d’habitabilité du Soleil (avec une orbite quasi-circulaire stable). Cependant, son origine demeure inconnue.
Différentes méthodes sont utilisées pour détecter de l’eau liquide ailleurs que sur Terre. Les principales sont la spectroscopie d’absorption et la géochimie. Ces techniques se sont avérées efficaces pour détecter de la vapeur d’eau et de la glace d’eau. Mais l’eau liquide s’avère plus difficilement détectable par spectroscopie astronomique, notamment lorsque l’eau est souterraine. Pour cette raison, les astronomes, les planétologues et les exobiologistes étudient et utilisent les effets de marée, des modèles de différenciation planétaire et des techniques de radiométrie pour évaluer le potentiel d’un objet à abriter de l’eau liquide. L’eau émise lors de phénomènes volcaniques peut fournir des indices tout comme des caractéristiques fluviales et la présence d’antigels (sels ou ammoniac).
En utilisant ces méthodes, l’eau liquide semble avoir couvert une grande partie de la surface de Mars dans le passé. Ce semble être également le cas sur Vénus. Cependant, l’eau liquide peut également exister en profondeur dans les corps planétaires, à la manière des eaux souterraines terrestres. La vapeur d’eau est parfois considérée comme une preuve de la présence d’eau liquide bien qu’elle puisse exister là où il n’y a pas de traces d’eau liquide. Des preuves similaires soutiennent la présence d’eau liquide sous la surface de nombreuses lunes et planètes naines, parfois sous forme de grands océans subglaciaires. L’eau liquide est envisagée comme commune dans d’autres systèmes planétaires malgré l’absence de preuves concluantes à l’heure actuelle (2015).
Source : Wikipedia